Tout projet entrepris comporte ses aléas et le Forget Me Not Chronicle n’y a pas échappé. En ces temps étranges de notre ère, mille détours ont été nécessaires afin de concrétiser ce petit bout de rêve. Au départ, la volonté d’imprimer ces pages délicates sur les presses d’un imprimeur local a vu son ardeur se refroidir avec les semaines qui sont passées. Les retards en matière de livres scolaires et moult autres impressions prévues depuis bien avant le grand retrait –confinement- ont rendu le processus quasi impossible. Le cœur en émoi, bien tristement, je croyais devoir ranger les beautés dans un carton et n’en faire qu’un souvenir. Puis enfin, la belle lumière des possibles a tout illuminé et l’idée de publication en ligne est apparue. Le magazine sera donc offert par l’intermédiaire d'une plateforme digitale. Sécuritaire, sérieux, les magazines seront imprimés sur un papier de superbe qualité. Le visuel en est sublime et le contenu demeurera celui des belles plumes du Chronicle et du temps jadis.
Les débuts du Forget Me Not auront lieu sous cette forme pour ensuite, au fil du temps et le retour de jours plus cléments, espérons-le, évoluer et renaître tel qu'il se devait être.
La mission de réjouir, émerveiller et partager demeure la même. La société des belles âmes et leurs aventures pourront prendre leur envol et disperser la magie entre les murs de nos demeures précieuses. Entre les voiles de nos rêves et de nos imaginations… Maintenant, entrons dans le nouveau royaume de la beauté, de la délicatesse et de l’amour; une gracieuse société de dames cœur, The Forget Me Not Chronicle.
Tout projet entrepris comporte ses aléas et le Forget Me Not Chronicle n’y a pas échappé. En ces temps étranges de notre ère, mille détours ont été nécessaires afin de concrétiser ce petit bout de rêve. Au départ, la volonté d’imprimer ces pages délicates sur les presses d’un imprimeur local a vu son ardeur se refroidir avec les semaines qui sont passées. Les retards en matière de livres scolaires et moult autres impressions prévues depuis bien avant le grand retrait –confinement- ont rendu le processus quasi impossible. Le cœur en émoi, bien tristement, je croyais devoir ranger les beautés dans un carton et n’en faire qu’un souvenir. Puis enfin, la belle lumière des possibles a tout illuminé et l’idée de publication en ligne est apparue. Le magazine sera donc offert par l’intermédiaire d'une plateforme digitale. Sécuritaire, sérieux, les magazines seront imprimés sur un papier de superbe qualité. Le visuel en est sublime et le contenu demeurera celui des belles plumes du Chronicle et du temps jadis.